Parlons maintenant de Marie-Laure plus connue sous le pseudo de Kayane, l’une des premières esportives française connue. Elle a commencé par jouer à Tetris sur sa Game Boy à l’âge de 4 ans. Aujourd’hui, Kayane est l’une des joueuses de combat vidéo les plus reconnues en France. Elle cumule une cinquantaine de podiums et gagne sa vie en tant que joueuse semi-pro, sponsorisée par Red Bull. En plus de ses occupations de joueuse, elle a su se diversifier en tant qu’animatrice télé ou animatrice lors d’événements de jeux vidéo. Marie-Laure est une grande passionnée des jeux de combat et de la culture japonaise. Comme je vous le disais, elle a commencé très tôt la pratique des jeux vidéo avec ses frères qui étaient bien plus vieux qu’elle. Ensemble ils testent des jeux comme Final fantasy, qui peuvent plonger les joueurs dans une univers et une ambiance épique. Puis vient le temps pour elle de se mettre sur les jeux de combat âgée seulement de 7 ans. Elle commence sur des licences comme Soul Calibur, Street fighter ou tekken. Et c’est seulement à l’âge de 9 ans qu’elle commence à mettre des raclées à des joueurs plus chevronnés. Grâce à ces deux frères qui eux même sont dans le circuit esport elle est sans doute plus entraînée que beaucoup et devient vice-championne de France de Dead or Alive 2. Ce fut le début pour elle d’une ascension dans l’univers des jeux de combat avec des titres de vice-championne du monde sur Soul Calibur en solo ou en équipe. A 11 ans elle remporte son premier chèque en tant que joueuse semi pro, son entraînement et son acharnement lui permettent de truster les premières places des tournois auxquels elle participe. La compétition lui permet de se rendre plusieurs fois aux Etats-Unis pour participer à des tournois dont principalement l’ECS (Evolution Championship Series) qui a lieu à Las Vegas. Un univers extraordinaire dans lequel elle peut côtoyer des joueurs du monde entier ainsi que des grandes entreprises dans le domaine. Une fois le bac en poche est âgée à peine de 18 ans elle y retourne pour participer au premier tournoi Street Fighter 100% féminin et en étant toute seule pour y aller, gagne ce tournoi et se fait connaître du monde entier comme meilleure joueuse sur le jeu.
Cette victoire a été le déclic pour elle pour gagner en indépendance et pouvoir vivre de sa passion en gagnant des sponsors et de la notoriété qui lui ont ouvert des portes pour participer à des émissions télé ou à des événements esportifs. Depuis, Marie-Laure se consacre évidemment à sa carrière mais aussi à défendre les valeurs de l’esport et à montrer qu’on peut vivre de sa passion ainsi qu’à défendre le droit des femmes et leur visibilité dans l’esport.
Voici donc le parcours de Kayane, comme vous pouvez le voir cela a commencé très tôt pour elle et en s’investissent sérieusement dans les jeux vidéo et l’esport elle a pu se créer son propre métier lié à sa passion et à en vivre correctement tout en voyageant dans plusieurs pays, rencontrer des personnes plus intéressantes les unes que les autres et en défendant une cause qui lui est cher.
Les jeux vidéo et l’esport peuvent donc être une occasion de réussir dans la vie à condition de travailler dur pour y arriver. Mais tout est possible.
Pour que vous puissiez appréhender les possibilités dans le domaine du jeu vidéo et de l’esport je vous propose de vous parler maintenant de quelqu’un qui justement a eu la chance de pouvoir réussir dans la vie grâce aux jeux vidéo. Il s’agit de Norman Chatrier alias Gen1us,
Attention même s’il s’appelle aussi Norman nous n’allons pas parler du youtubeur mais bien du joueur de jeux vidéo. Norman est l’un des premiers esportif français à s’être fait un nom et une place dans cet univers. Norman est surtout connu à la base grâce au jeu Tekken qui lui a permis de se faire connaître et de commencer une carrière d’esportif et ensuite d’entrepreneur.
Norman est le petit-fils de l’ex champion de tennis Philippe Chatrier, connu pour avoir été le président de la fédération internationale de Tennis. Il hérite d’un esprit de compétition et dès l’enfance il voulait déjà dédiaboliser l’image du joueur de jeux vidéo. Il commença donc dès l’enfance à se mettre sur le Jeu Tekken et avec des réflexes intéressant et une capacité d’analyse forte il pouvait se démarquer assez rapidement des autres joueurs de son âge. Lorsqu’il était enfant ses parents que Norman pouvait être atteint d’autisme car il avait des difficultés à l’école malgré ses capacités. Grâce à l’étude du piano, il a pu apprendre à se concentrer et à mieux maîtriser ses réflexes.
On pourrait penser que sa carrière avec Tekken commencerait au début des années 2000 mais avec la sortie de la Xbox et à 15 ans il découvre le Xbox live et c’est sur tony Hawk pro skating qu’il commence. Malgré des bons résultats dans les jeux, l’école restait compliquée pour lui. Il est alors envoyé à Metz, en pension pour 2 ans, sans jeux vidéo et avec pour objectif de se remettre au piano. En 2005 avec la sortie de Tekken 5, Norman s’est remis sur le jeu et à décidé de commencer à se faire un nom. Il est temps pour lui de faire de sa passion un métier. Pour se perfectionner, Norman se déplacera lui-même dans Paris pour rencontrer d’autres joueurs. Ce fut l’occasion de rencontrer des personnes et de participer à la communauté.
En 2009 le plus gros tournoi de Tekken fut organisé et bien évidemment Norman alla y participer. Il remporte le championnat français puis il remporte le tournoi Européen et part pour le Japon pour tenter de devenir le meilleur joueur mondial. Un tournoi plus compliqué que prévu car notre pauvre Norman finira comme meilleur joueur Européen, meilleur joueur non asiatique mais pas meilleur joueur du monde. Norman a fait la promotion de tekken tag 2 ce qui lui permet de rencontrer des professionnels dans le domaine de l’audio visuel et cela lui permet d’aller travailler sur la chaîne Game One puis sur la canal esport club.
Il continue d’essayer de montrer les joueurs de jeux vidéo sous un autre jour plus positif.
Dans cette chronique on va aussi parler de femmes puisque dans les précédentes je n’ai parlé que d’hommes pour le moment.
Lara Croft l’héroïne de la série de jeux vidéos Tomb Raider depuis 1996.
La particularité des jeux vidéos conjuguent les scènes d’action pure à des passages d’aventure et d’énigmes. L’héroïne, Lara Croft, évolue dans des décors en 3D temps réel, accompagnée d’un fond sonore destiné à immerger le joueur dans les décors visités ou à surligner les événements qui arrivent à l’écran (effondrement du décor, dangers, ennemis qui arrivent…).
Dès le premier épisode, cette série connaît un succès planétaire, et les fans de Tomb Raider se multiplient. Après trois premiers épisodes très bien accueillis, et un quatrième qui les surpasse en tous points, la série s’essouffle à cause du manque d’évolution et d’innovation. Le personnage central de Tomb Raider est l’archéologue britannique Lara Croft, une aventurière qui cherche la vérité sur le monde qui l’entoure. Ce personnage a été créé par le designer de Core Design, Toby Gard.
Elle apparaît principalement avec un short marron, un haut sans manches bleu ou vert, un holster sur chaque côté, pour garder ses deux pistolets, et enfin un petit sac à dos marron. Au fur et à mesure de l’avancement de la série, son modèle 3D a été amélioré, gagnant entre autres des polygones, et la poitrine du personnage a été augmentée puis réduite.
En novembre 1996 paraît le premier opus : Tomb Raider. On y découvre la protagoniste Lara Croft, qui restera l’icône des opus qui suivront. L’archéologue londonienne est contactée par Jacqueline Natla, PDG de Natla Technologies, qui lui demande de retrouver les fragments du Scion des Atlantide, relique que son père a déjà recherchée, située au Pérou, mais Natla devient rapidement une antagoniste. Lorsque Lara réussit à retrouver les autres morceaux du Scion, situés en Grèce et en Égypte, Natla et ses mercenaires lui volent la relique. Elle lui révèle qu’elle est en réalité une déesse atlante, déchue par ses frères Qualopec et Tihocan pour avoir abusivement utilisé son pouvoir du Scion. Lara parviendra à la rattraper à l’intérieur d’une grande pyramide, que Natla utilise pour faire naître des créatures hostiles, mais également un clone de Lara, qui reproduit dans le jeu l’intégralité des mouvements de l’héroïne. Lara devra se mesurer à Natla et ses créatures avant de s’enfuir de la pyramide qui fini par exploser, sous la force destructrice du Scion.
Les pièges et les énigmes du jeu varient énormément, et demandent de la réflexion de la part du joueur. L’espace totalement en 3D est une révolution à la sortie du jeu. Un an après Tomb Raider, un second opus sort : Tomb Raider 2 (parfois sous-titré La Dague de Xian). En novembre 1998, soit deux ans après le premier opus, sort Tomb Raider 3 : Les Aventures de Lara Croft. C’est en fin d’année 1999 que paraît Tomb Raider : La Révélation finale.
En novembre 2000 sort le cinquième opus, Tomb Raider : Sur les traces de Lara Croft. Le scénario de ce jeu est bien distinct des autres, car il se présente seulement sous forme de flash-backs. En effet, des amis de l’aventurière se remémorent ses excursions à travers le monde, après son enterrement, faute d’avoir trouvé son corps en Égypte. Lara se retrouve en Irlande, présentée adolescente, puis adulte à Rome, en Sibérie et à New York.
Après trois ans d’attente, le sixième opus de Core Design sort enfin : Tomb Raider : L’Ange des ténèbres ; titre qui restera assez mal accueilli par les fans. Effectivement, de nombreux reproches lui ont été adressés : un scénario s’éloignant de l’esprit Tomb Raider, se basant uniquement à Paris et Prague, sur fond de sociétés secrètes et de complot, ainsi que de nombreux bugs présent dans les versions Playstation 2, PC et Mac.
La sanction ne se fait pas attendre : le 30 juillet 2003, soit moins d’un mois après la sortie du jeu, Eidos Interactive annonce qu’il retire la franchise Tomb Raider à Core Design pour la confier au studio Crystal Dynamics
Crystal Dynamics attend trois ans pour sortir son premier titre : Tomb Raider: Legend. Le scénario se coupe complètement de celui des opus de Core Design ; en effet, dans cet épisode, Lara Croft voyage dans le monde entier et sur presque tous les continents pour rassembler des morceaux de l’épée légendaire du roi Arthur : Excalibur.
Et bien, la dernière fois je vous avais parlé d’un jeune charpentier qui était devenu plombier après quelques années avec l’aide de son créateur Shigeru Miyamoto.
Ce bon vieux Miyamoto sentait le filon des jeux sur console décida alors quelques années plus tard de lancer un autre petit jeune en pleine expansion avec son ami Takashi Tezuda ils décidèrent alors de réfléchir à qu’elle pourrait être la prochaine star de la Nintendo ou NES pour les intimes.
Ils organisèrent un peu comme la nouvelle star ou the voice une campagne pour dénicher le futur champion. Après une lutte acharnée ils tombèrent sur un petit jeune du nom de LINK, un espèce d’humain elfe avec des oreilles pointu qui avait la particularité de pouvoir se déplacer dans tous les sens contrairement à son collègue Mario.
Après un tournage intense c’est donc en 1986 que sorti la première production du nom de Zelda sous le nom de Legend of Zelda, ce jeu contrairement à ceux de Mario allait proposer un côté exploration avec des quêtes secondaires et des musiques oniriques.
En ce qui concerne le nom du jeu vous aurez donc compris que à l’inverse de Mario, Link n’a pas donné son nom à la franchise, celle ci s’inspire de la princesse du Royaume (Hyrule) dans lequel se déroule l’action Zelda, dont le nom a été pris de la femme du romancier Francis Scott Fitzgerald écrivain notamment de Gatsby le magnifique.
Après s’être inspiré de son propre environnement lorsqu’il était en vacances Miyamoto envoya donc son nouveau héros Link dans le monde d’Hyrule pour sauver la princesse Zelda, une récurrence dans les jeux Nintendo des années 80-90.
Link, armé de son épée, de son bouclier, et d’une foule d’autres objets dont un arc, un grappin et des bombes, doit sauver la princesse Zelda, de son ennemi Ganondorf également représenté sous sa forme bestiale, Ganon
L’action se déroulant dans le royaume d’Hyrule et met en jeu la Triforce, une relique divine ayant la forme de trois triangles d’or et exauçant un vœu à celui qui la touche. Au fil des jeux, le scénario n’a que peu dévié, mais divers éléments lui ont été ajoutés, approfondissant la série.
Comme vous l’aurez compris le scénario reste basique, Link doit anéantir le seigneur du Mal, souvent Ganondorf, et sauver la princesse Zelda. Link peut être un personnage différent selon les épisodes, mais sa tenue (une tunique verte et un bonnet pointu) est toujours la même.
Dans tous les Zelda, le joueur doit trouver et explorer des donjons (ou temples) parsemés d’énigmes et de combat jusqu’à atteindre le boss du donjon. Dans la plupart des jeux de la série, chaque donjon a un « thème » comme le feu, la forêt ou l’eau, mais aussi le temps, l’ombre ou l’esprit (Ocarina of Time).
Les énigmes donnent généralement accès à des clefs qui permettent d’ouvrir de nouvelles parties du donjon. Pour se repérer plus facilement dans ces labyrinthes, le joueur peut également trouver une carte et une boussole indiquant l’emplacement des coffres et du « boss ». Chaque donjon contient un objet particulier et unique, essentiel pour la suite de la quête et qui est la plupart du temps acquis après avoir vaincu un « mini-boss ».
Les jeux The Legend of Zelda se déroulent dans un univers fantastique où existent magie, divinités, créatures diverses, héros et princesse. Un univers où existe le Bon et le Mauvais côté, où le Héros doit vaincre le Mal au profit du Bien. Dans divers jeux de The Legend of Zelda, certaines créatures peuvent être des références à des êtres ou monstres mythologiques tirés de la littérature fantastique (comme pour les Hyliens qui sont semblables aux elfes) ou dans les cultures de différents pays.
Le Succès du premier jeu sorti en 1986 permit d’assurer une suite de jeux :
Le deuxième jeu, Zelda II : The Adventure of Link, a été édité en 1987
Quatre ans plus tard, en 1991, The Legend of Zelda: A Link to the Past sort au Japon sur Super Nintendo,
Le jeu suivant, The Legend of Zelda: Link’s Awakening, sort en 1993.
La série prend le tournant de la 3D avec The Legend of Zelda: Ocarina of Time en 1998, sur Nintendo 64,
Le titre suivant, The Legend of Zelda: Majora’s Mask, est sorti en 2000 sur Nintendo 64.
Les deux jeux suivants, The Legend of Zelda: Oracle of Ages et The Legend of Zelda: Oracle of Seasons, ont été publiés simultanément pour la Game Boy Color en 2001.
The Legend of Zelda: The Wind Waker, est sorti en 2002 sur GameCube
The Legend of Zelda: Four Swords Adventures sort sur GameCube en 2004
The Legend of Zelda: The Minish Cap sort en 2004 sur GameCube
En 2006, The Legend of Zelda: Twilight Princess est le premier Zelda sur Wii,
The Legend of Zelda: Phantom Hourglass, sorti en 2007 sur Nintendo DS,
The Legend of Zelda: Spirit Tracks, sorti en 2009
A ce jour la série compte 90 millions d’exemplaires vendus
Comme pour son bon ami Mario Link a eu le droit à son adaptation hors jeux vidéo.
Si certains d’entre vous sont des aficionados du Joueur du Grenier vous avez sans doute vu quelques images de la Légende de Zelda qui s’inspire des deux premiers jeux. cette série qui date de 1989 n’a eu que 13 épisodes mais niveau design et scénario cela n’est pas plus mal. pour ceux qui ont la chance de la voir un jour vous vous souvenez sans doute du Link de cette version, très empoté et harceleur avec les femmes
Les japonais ont adapté l’histoire sous forme de manga papier entre 1989 et 1991 puis entre 1994 et 1996 une autre version.
Vous pourrez trouver une version Française aux éditions Soleil productions
The Legend of Zelda: Breath of the Wild Il est sorti le 3 mars 2017 sur Nintendo Switch pour le lancement de la console, ainsi que sur Wii U dont c’est le dernier jeu produit par Nintendo.
Le jeu propose d’incarner Link, amnésique, qui se réveille après un long sommeil d’une centaine d’années par une mystérieuse voix qui le guide pour éliminer Ganon, le fléau et restaurer la paix dans le royaume d’Hyrule qui est un royaume désolé fait de ruines et bâtiments abandonnés.
Une faune s’est développée dans le pays désormais dévasté, composée à la fois d’animaux normaux (comme des oiseaux, des daims et des sangliers) et de créatures hostiles. le jeu comme pour Mario Odyssée est basé sur un concept de monde Ouvert.
Le jeu prend place dans un vaste monde connecté, douze fois plus grand que celui de Twilight Princess, que Link peut explorer librement, à la manière du premier opus, The Legend of Zelda. Link a désormais la possibilité de sauter à tout moment ou d’escalader différentes parois verticales telles que les tours et des falaises.
En France, il est le troisième jeu le plus vendu de l’année 2017, avec 511 000 exemplaires écoulés.
Aurora est une fille de 15 ans qui doit aller affronter des fantômes dans une vieille maison. Elle part à la recherche de son petit frère qui a été enlevé pendant la nuit. Son objectif est de battre les fantômes avant d’aller affronter leur chef et de pouvoir libérer son frère.
Le jeu est simple il vous suffit de sauter en tuant les fantômes qui seront sur votre chemin et en évitant les épées qui sont placées au sol. Aurora passe son temps à courir à la recherche de son petit frère. En appuyant sur votre souris vous pouvez la faire sauter et double sauter.
La maison est assez simple mais des fantômes vous attendent au tournant.
Disclaimer : Cette version se base sur le jeu développé dans le cadre de la mini-jam organisée par Microstudio sur le principe du jeu en 1 click. Le jeu de base Reggie the hedgie a été développé sur microstudio par @tinkersmith!. Aurora the Ghostslayer est une version modifiée sur les sprites.
Aujourd’hui nous allons aborder un sujet intéressant dans cet article. En effet, en discutant souvent avec des parents je me rends compte que beaucoup ont encore une mauvaise image des jeux vidéo en pensant que ce sont souvent des jeux violents et que c’est une perte de temps pour leurs enfants d’être dessus qu’il n’y a rien à apprendre.
Dans cet article nous allons parler de la possibilité d’utiliser les jeux vidéo comme outil d’apprentissage pour les enfants pour leur permettre de développer leurs compétences dans certains domaines. Plus précisément, les jeux vidéo peuvent être un outil pour développer les connaissances et la culture dans certains domaines et dans des matières scolaires. Cela peut être intéressant pour approfondir une matière déjà maîtrisée par un enfant ou pour lui permettre d’apprendre des choses qu’il ne maîtrise pas encore. Je discute souvent avec des parents qui me disent qu’ils utilisent les jeux sérieux pour leurs enfants mais que ceux-ci ne sont pas très enclins à y jouer car ils comprennent la supercherie et cela ne les intéresse pas. Il faut savoir que les jeux vidéo classiques ou non sérieux sont déjà un puissant outil d’apprentissage quand on sait quoi faire et quoi chercher.
On va donc parler d’un jeu qui peut être intéressant et utile pour développer ses compétences dans une matière scolaire. L’histoire géographie. Voilà une matière où souvent les enfants ont du mal à se rappeler des dates ou des pays. Je vous propose donc de parler d’un jeu qui pourra les intéresser et qui avec une bonne prise en main leur permettra de développer leurs connaissances en histoire, en géographie et leur donner l’envie de faire par eux même des recherches pour approfondir leurs connaissances.
Voici donc Europa Universalis, disponible sur PC, MAC et LINUX.
Allant de l’Amérique précolombienne à l’Europe à l’aube de la Renaissance, et d’en gérer l’économie, la diplomatie, la technologie et l’armée sur une période allant du 11 novembre 1444 (lendemain de la bataille de Varna) au 2 janvier 1821 (après le Congrès de Vienne). Du fait du contexte historique du jeu (Grandes découvertes et colonisation du Nouveau Monde), l’exploration et la colonisation deviennent des points majeurs du système de jeu. Le jeu dispose également d’un mode multijoueur jouable simultanément par 256 joueurs.
“Le joueur a la possibilité de contrôler plusieurs centaines de pays (ceux-ci pouvant varier en fonction de la date de départ) à n’importe quelle date de la période allant du 11 novembre 1444 au 2 janvier 1821. L’exploration et la colonisation occupent une place majeure dans le système de jeu, l’aspect exploration étant notamment représenté par une carte du monde dont l’essentiel est caché par un brouillard de guerre (terra incognita) en début de partie quel que soit le pays choisi. Elle se révèle au fur et à mesure de la progression dans le temps, soit par des expéditions menés par des explorateurs (devant être débloqués au moyen de doctrines), soit par l’achat de cartes auprès d’autres pays, soit enfin par la simple diffusion de la connaissance du Nouveau Monde. Contrairement à d’autres jeux, la plupart des évènements historiques présents dans le jeu ne sont pas prévus pour se produire à une date spécifique au lieu de quoi un système demandant que certaines conditions soient réunies pour que tel événement se produise fut introduit. Ceux-ci, parfois déterminants au niveau continental (entre autres « Le mariage ibérique » et « La mort du Roi de Bourgogne »), sont par ailleurs complétés par une série d’événements génériques pouvant advenir quelle que soit la nation jouée et l’état d’avancement de la partie.”
Un jeu qui est très intéressant et qui permet donc aux enfants s’ils le jouent à partir de 15 ans d’en apprendre plus sur l’histoire et de leur donner envie de s’intéresser et de faire des recherches par eux même.
Allez on va parler Esport. Peut-être que certains d’entre vous connaissent le Nintendo Worl Championship qui a eu lieu en 1991. Bien que ce tournoi soi en principe le premier tournoi Esportif il n’est pas réellement considéré comme tel car il n’y avait pas encore toute l’effervescence de l’Esport dans celui-ci.
C’est en 1997 avec le Quake Red Annihilation que tout commence.
C’est l’une des premières compétition de ce genre, le tournoi a d’abord été créé lorsque le tournoi Kings of Capture Quake a été lancé par Michael « Hawthorne » Shearon, après avoir contacté Intergraph pour un éventuel parrainage, le tournoi a été intégré à ce qui est devenu Red Annihilation. Le tournoi a ensuite été développé et organisé par Rob Esterling, directeur exécutif supervisant le groupe graphique commercial et grand public d’Intergraph Computer Systems, et son équipe Intergraph comprenant Jim Terzian, le directeur du tournoi et Victor Johnson, le directeur artistique de l’équipe.
En 1996, le groupe DirectX de Microsoft a organisé des compétitions de jeux, d’abord lors de la Computer Game Developers Conference, puis en tant qu’événement distinct, sélectionnant les joueurs et les faisant participer à la compétition. Lorsqu’un autre événement organisé par Microsoft DirectX, qui devait se tenir à la base aéronavale d’Alameda, a été annulé, Intergraph a annoncé qu’il organiserait un tournoi qui serait une compétition nationale ouverte de jeux informatiques et a choisi Quake comme jeu à jouer.
Intergraph a fait appel à Quake Developer id Software, au fabricant de chipsets d’infographie 3D Rendition et à la société de jeux en ligne Mpath Interactive en tant que partenaires de Red Annihilation. Will Bryant et Frank Cabanski du Quake ClanRing ont été sélectionnés pour organiser la compétition de jeu en raison de leur expérience de pionnier dans la gestion de tournois de jeu à grande échelle.
La phase initiale du tournoi a eu lieu sur le réseau MPlayer de Mpath avec plus de 2000 participants de partout aux États-Unis en compétition en ligne dans des matchs en tête-à-tête. Les 16 meilleurs joueurs se sont rendus à Atlanta, en Géorgie, pour la phase finale du tournoi, où ils ont concouru à l’intérieur du World Congress Center dans une arène de jeu Intergraph construite sur le sol de l’Electronic Entertainment Expo (E3). Cette phase de la compétition a utilisé vQuake, la version du jeu à accélération matérielle, jouée sur des ordinateurs PC Intergraph équipés d’accélérateurs graphiques Intense3D basés sur Rendition V1000. Les joueurs pouvaient utiliser leurs propres claviers, souris et autres dispositifs de pointage s’ils le souhaitaient.
La grand vainqueur de cet événement a pu repartir avec une Ferrari 328 GTS Cabriolet.
Tout le monde connait sans doute Pong. Premier jeu vidéo de sport sorti en 1972. Mais peut de gens doivent connaître le véritable tout premier jeux vidéo qui était sorti une vingtaine d’année avant ?
C’est en 1952 qu’un étudiant britannique du nom d’Alexander Douglas a mis au point ce premier jeu. Alexander Douglas programme le jeu dans le cadre de sa thèse sur les interactions homme-machine pour obtenir son philosophiæ doctor à l’université de Cambridge.
Pour se faire il va le programmer sur l’ordinateur Electronic Delay Storage Automatic Calculator (EDSAC). L’EDSAC est l’un des premiers ordinateurs à disposer d’une mémoire et possède trois tubes cathodiques qui lui permettent d’en afficher l’état. Alexander Douglas en utilise un pour afficher des informations destinées à l’utilisateur, dont notamment la grille du jeu.
OXO est un jeu de Morpion dans lequel deux adversaires doivent aligner trois symboles identiques. Lors d’une partie, un joueur affronte l’intelligence artificielle du programme qui est conçu de manière à jouer sans jamais faire d’erreur. Le joueur joue les X et l’ordinateur les O.
Dans ces temps troublés et ou il y a beaucoup de difficulté à trouver un emploi Je vais vous raconter l’histoire d’un jeune charpentier qui a su créer un bel empire dans le domaine des jeux vidéos.
En 1981, alors tout jeune charpentier sorti de l’école il accepte un premier travail sur un étrange chantier, en effet celui ci qui vient tout juste de commencer est habité par un plus étrange gorille encore, qui a la fâcheuse habitude de capturer des jeunes filles. En l’occurrence une fille venait de se faire capturer, elle répondait au nom de Pauline et par une encore plus étrange coïncidence elle était l’amie de notre jeune charpentier.
Celui ci décida donc un soir de partir à sa rescousse, il devait donc gravir des échafaudages et éviter des tonneaux ainsi que des boules de feux en sautant pour arriver tout en haut et sauver son ami.
C’est ainsi qu’en 1981 après avoir d’abord porté le nom de vidéo man qui était assez peu représentatif de ses compétences il devint JumpMan dans le jeux vidéos de son ennemi de l’époque Donkey Kong. C’était un petit boulot qui payait bien mais en 1982 avec son créateur Shigeru Miyamoto qui travaillait dans une entreprise japonaise du nom de Nintendo lui proposa son propre grand rôle. Il avait déjà les atouts pour devenir un grand du monde du jeux vidéos, il était reconnaissable à sa moustache, à sa salopette, à ses gants blancs et à sa casquette rouge marquée d’un M inscrit dans un cercle blanc.
Tout commença d’abord en 1982 donc quand il fut renommé Mario dans le jeu Donkey Kong Jr sorti sur arcade ou cette fois c’était Mario qui avait capturé Donkey kong dont le fils venait le libérer. Puis en 1983 grace au succès il entama alors sa carrière perso avec le jeu qui portera son nom : Mario bros et qui verra l’apparition de son frère Luigi.
Il lui ressemble physiquement. Ce dernier est cependant plus grand, plus maigre, un peu moins courageux, maladroit mais il est plus léger et saute plus haut dans certains jeux. Il porte des vêtements verts et bleu marine
Etant donné que l’action se passe principalement sous terres avec des tuyaux abritant des ennemis Shigeru Miyamoto a donc l’idée de transformer notre jeune charpentier en un peu plus vieux plombier à moustache.
Dans ce jeu, les deux frères ne peuvent pas sauter sur leurs ennemis, mais doivent les faire trébucher pour ensuite les éjecter hors de l’écran.
Les ventes de cet opus permettent de laisser supposer le meilleur pour la suite, c’est ainsi que Mario, Luigi et Miyamoto décident de lancer en 1985 la suite de l’aventure avec la version Super Mario bros sur Famicon ou Nes pour les intime.
L’action se déroule dans un univers fictif nommé le Royaume Champignon où habitent la princesse Toadstool, Peach au Japon, et ses serviteurs, les Toads.
Un jour, une horde de Koopas maléfiques envahit le Royaume Champignon et transforme tous ses habitants en briques. La seule personne qui peut briser le maléfice et restaurer la paix dans le royaume est la princesse Toadstool, mais malheureusement, elle se fait kidnapper par Bowser, le roi des Koopas. Mario, le héros Italien de l’histoire, est mis au courant de la situation catastrophique du royaume et de ses habitants, et décide de partir à l’aventure pour libérer la princesse Toadstool des griffes de Bowser.
Évidemment notre héros va donc réussir à vaincre ses ennemis à travers les 8 niveau du jeu divisés chacun en 4 parties
Attention alerte spoiler pour ceux qui n’auraient jamais encore joué au jeu
à la fin de chaque niveau Mario se retrouve dans un château pour affronter Bowser et sauver Peach mais le méchant s’enfuit à chaque fois, il lui faudra atteindre le niveau 8-4 pour enfin la libérer.
Mario est devenu au fil du temps le sauveur de ces dames
On le reverra plus tard dans les suite de ce jeu super mario bross, super mario world, Super mario Sunshine, Super mario 65, Super mario galaxy.
Les différents métier de Mario
Au cours de sa longue carrière le plombier ancien charpentier a eu la chance de faire d’autres métier comme médecin, conducteur de kart, tennisman, joueur de baseball, golfeur, footballeur, basketteur, danseur et bien d’autres de quoi lui permettre de se renouveler encore et encore.
La série Mario est la plus vendue de l’histoire du jeu vidéo, avec plus de 195 millions d’exemplaires écoulés. (cartouche, cd, etc..)
Si l’on compte tous les jeux ou il apparaît le chiffre peut monter jusqu’à 450 millions et plus.
Ce qui permet au petit plombier et à son jeune frère ainsi qu’à leur ami d’avoir mis en place un véritable empire familiale avec une possibilité de continuité.
N’oublions pas qu’il ne vieillit pas et qu’il peut donc encore être parmi nous pour plusieurs décennies.